Les femmes kurdes se battent aussi pour leurs droits fondamentaux

L’image de la combattante kurde est devenue l’icône « bankable » de la lutte contre l’État islamique. Mais derrière ce cliché se trouve une réalité bien plus sombre : mutilations, mariages forcés, abandons.

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La majorité à peine soufflée, Asia Ramazan Antar s’est enrôlée au sein des YPJ, les unités de protection de la femme, une aile armée du parti kurde syrien, le PYD. En octobre 2015, sous son nom de guerre Viyan Antar, elle croise près d’une tranchée l’objectif du photographe espagnol Alberto Hugo Rojas. Sur l’image, on voit la jeune femme brune en treillis sur fond de désert, quelques mèches au vent. Son visage arbore un demi-sourire et son regard se porte au loin. Sur un autre cliché, l’expression se fait plus déterminée. La combattante porte à l'épaule une kalachnikov.

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