La police de l’État hébreu aurait eu recours au fameux logiciel espion, en dehors de tout cadre légal, pour surveiller de nombreuses personnalités, dont des proches de l’ancien premier ministre Benjamin Netanyahou.
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TelTel Aviv (Israël).– C’était une semaine noire pour la police israélienne. Après avoir nié, puis avoué à demi-mot des « anomalies » dans l’utilisation du logiciel Pegasus, la voici accusée d’avoir surveillé des dizaines de citoyens israéliens, la plupart sans le moindre soupçon de crime ou délit, et en dehors de tout cadre légal. Un espionnage à grande échelle, révélé lundi 7 février par le quotidien israélien Calcalist, après plusieurs mois d’enquête.
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