Proche et Moyen-Orient

Rafah, sous le feu d’une nouvelle offensive, craint « un carnage »

La ville la plus au sud de la bande de Gaza, qui abrite désormais la majorité de la population palestinienne, a connu entre dimanche et lundi sa pire nuit de bombardements israéliens. Deux otages ont été libérés. Des humanitaires français de retour de mission témoignent.

Rachida El Azzouzi

Porte d’entrée principale d’une aide humanitaire entravée par le siège complet imposé par Israël, Rafah est le dernier refuge de 1,4 million de personnes selon les Nations unies, soit la majorité de la population palestinienne (dont 600 000 enfants selon l’Unicef). Au sud de la bande de Gaza, à la frontière, fermée, avec l’Égypte, habitant·es et personnes déplacées s’y entassent dans un dénuement extrême. 

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