Inde: Rahul Gandhi devient le dernier espoir de la gauche
Dans un pays toujours sous le charme de Narendra Modi, l’héritier de la dynastie fondée par Nehru prend la présidence du parti du Congrès, samedi 16 décembre. Certains le présentent comme «le Jeremy Corbyn de l’Inde»...
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Bombay (Inde), de notre correspondant.- Il est étonnant de voir comment quatre lettres peuvent changer un homme. Ou du moins la perception que l’on peut avoir de lui. L’Inde semble découvrir un nouveau Rahul Gandhi, depuis que le vice-président du parti du Congrès qu’il était depuis 2013 s’est débarrassé de l’adjectif « vice » pour devenir président tout court, lundi 11 décembre. Celui que beaucoup surnomment « l’héritier », pour moquer une ascension en politique que l’intéressé ne devrait qu’à son ascendance, est désormais l’opposant numéro un à l’actuel chef du gouvernement, Narendra Modi, avec derrière lui quelque vingt millions d’adhérents au parti du Congrès.
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Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
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