Comment le groupe Bolloré a ruiné deux entrepreneurs camerounais

Depuis 23 ans, deux petits patrons camerounais attendent que le groupe Bolloré respecte un jugement rendu par la justice locale en leur faveur. Ils sont aujourd’hui ruinés. Car le groupe français « fait peur » aux autorités judiciaires et politiques de Yaoundé.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Le lecteur doit être averti : cet article pourrait amener son auteur et Mediapart devant un tribunal, le groupe Bolloré ayant pris l’habitude de poursuivre les médias qui soulèvent des questions potentiellement gênantes pour lui. Cela ne pourra pas être pire que ce que vivent Séverin Ohandja et Thomas Mabou : depuis 23 ans, ces deux citoyens camerounais et leurs familles attendent que Bolloré respecte une décision de justice, après un préjudice qui les a complètement ruinés.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal