En moins d’une demi-journée, la chancellerie a offert le spectacle assez rare du revirement d’un revirement à propos d’un arbitrage élyséen parmi les plus polémiques et les plus fondamentaux depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron, celui qui concerne le rapatriement des djihadistes français (et de leurs familles) détenus dans la zone syro-irakienne.
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