La bavure de Bounti se résume à une «bataille informationnelle» pour la France
Mise en cause dans un rapport des Nations unies, la France se dit victime d’une « guerre informationnelle ». Paris affirme que ses forces ont bombardé des djihadistes, et non des civils réunis pour un mariage, le 3 janvier au Mali.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LaLa bavure de Bounti réduite à « une bataille informationnelle »… Sans surprise, dans un rapport consacré à l’opération Barkhane, qui a été rendu public ce mercredi et qui soutient notamment que « la France ne s’enlise pas au Sahel », que son bilan y est « incontestablement positif » (deux affirmations contestées par de nombreux observateurs) et que son armée doit donc y rester, les députées Sereine Mauborgne (LREM) et Nathalie Serre (Les Républicains) reprennent, au sujet de cette affaire, quasiment mot pour mot les arguments du gouvernement.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.