C’était un autre temps, un autre monde. En 1954, le chercheur américain Jonas Salk, découvreur du vaccin contre la poliomyélite, annonçait au moment de la mise sur le marché de son vaccin qu’il renonçait à le breveter, au nom de la défense de l’humanité. « Peut-on breveter le soleil ? » répondit-il à des journalistes interloqués que le chercheur abandonne une fortune.
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