En 2003, la Commission européenne l’assurait : elle avait trouvé la recette miracle pour mettre fin à l’exploitation illégale des forêts tropicales et au commerce de bois qui y est associé. Cette solution, c’était un plan d’action, baptisé FLEGT (pour « Forest Law Enforcement, Governance and Trade »). Avec lui, tout allait changer : les États producteurs ne perdraient plus chaque année 10 à 15 milliards de dollars de recettes fiscales ; l’environnement, le climat et les dizaines de millions de personnes vivant des produits forestiers ne souffriraient plus des coupes sauvages des forêts.
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