Aux négociations de paix infra-afghane, qui ont commencé samedi à Doha (Qatar), la députée Faouzia Koofi va sans doute rencontrer ceux qui, à plusieurs reprises, ont décidé de son assassinat. La dernière fois, c’était le 14 août sur l’autoroute Parwan-Kaboul par des tueurs qui l’ont ratée de peu : elle a cependant été blessée au bras. Car pour les talibans, cette combattante féministe de la première heure devenue vice-présidente de l’Assemblée nationale afghane est depuis longtemps une cible.
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