Le texte n'est qu'une résolution politique, sans force juridique contraignante. Mais son adoption jeudi 16 janvier en séance plénière à Strasbourg, à une très large majorité – le vote s'est déroulé à mains levées – marque un durcissement de la position du parlement européen vis-à-vis de ces phénomènes de pantouflage entre public et privé, qui minent la crédibilité des institutions de l'UE.
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