La justice américaine, en la personne du procureur spécial Robert Mueller, enquête sur le président lui-même, soupçonné d'entrave à la justice dans l'affaire de l'ingérence russe dans la campagne présidentielle de 2016. Pendant ce temps, les parlementaires républicains essaient de légiférer.
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New York (États-Unis), de notre correspondant.- On ne rend pas assez grâce à Melania Trump. Selon de nouvelles fuites en provenance de la Maison Blanche, la première dame, tout juste installée à Washington, a réussi in extremis à dissuader son mari d’enfoncer sa présidence et son pays dans un nouveau bourbier. Pour l’instant. Non content de limoger le directeur du FBI chargé de l'enquête sur la possible collusion de sa campagne avec Moscou, Trump s'apprêtait cette fois à virer Robert Mueller, le procureur indépendant qui venait de prendre le relais pour accomplir le même travail. Son épouse, bien mieux que son chef de cabinet, Reince Priebus, aussi affolé qu’elle, l’a ramené à la raison en lui assurant que cette décision ne ferait qu’attiser les soupçons à son égard, « alors que le procureur ne pourrait au bout du compte que le disculper ».
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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