Au Chili, la menace d’un refus plane sur la nouvelle Constitution
Face aux crispations sur certains points de la nouvelle Constitution, le gouvernement chilien prévoit déjà des réformes au texte en cas d’adoption par référendum le 4 septembre. Une position défensive qui témoigne de l’étroitesse du chemin vers la victoire du « oui ».
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UnUn petit livre bleu circule depuis début juillet dans les foyers, sur les marchés et virtuellement sur les réseaux sociaux au Chili. On le lit publiquement, on en commente les articles, on en discute – parfois vivement – les formulations. Ce texte de 170 pages, rédigé par les 154 membres de la Convention constitutionnelle élus en mai 2021, est sobrement intitulé : « Constitution politique de la République du Chili ». Il a été remis au président Gabriel Boric le 4 juillet 2022, et doit maintenant être approuvé par référendum le 4 septembre. Sa validation marquerait l’entrée du pays andin, qui fut le berceau de l’ultralibéralisme sous la dictature de Pinochet, dans une nouvelle ère politique.
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