Élections italiennes : après Draghi, l’extrême droite

Italie : comprendre les mécanismes d’une élection à hauts risques

L’élection italienne du 25 septembre prochain, qui pourrait aboutir à l’avènement de la cheffe du parti post-fasciste, est en grande partie déterminée par son cadre institutionnel. Tour d’horizon de la loi électorale et des processus de nomination du président du Conseil transalpins.

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Le 25 septembre prochain, les électeurs italiens sont appelés à renouveler leur Parlement, constitué de la Chambre des députés et du Sénat. La coalition des trois partis de droite, appelée en Italie « centre-droit », est donnée gagnante d’un scrutin qui se fera à l’issue d’une campagne éclair et qui aura peu mobilisé les Italiens. Il est de plus en plus probable de voir Giorgia Meloni, cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, à la tête du prochain gouvernement du pays. 

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