Le réquisitoire français contre les services secrets pakistanais
«Sympathies» pour certains mouvements terroristes ; «attitude pour le moins contrastée» ; «manque de professionnalisme» ; «formation assez basique» ; «absence de résultats»... Des documents inédits des services français, déclassifiés en marge de l'affaire Karachi, brossent un portrait impitoyable des deux principales agences de renseignements pakistanaises.
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«Sympathies» pour certains mouvements terroristes ; «attitude pour le moins contrastée» ; «manque de professionnalisme» ; «formation assez basique» ; «absence de résultats»... Des documents inédits des services secrets français, récemment fournis à la justice par le gouvernement en marge de l'affaire Karachi, brossent un portrait impitoyable des deux principales agences de renseignements pakistanaises, l'ISI et l'IB, régulièrement mises en cause depuis des années pour leur attitude équivoque – si ce n'est plus – à l'égard du terrorisme.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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