L’Irak risque de mourir de soif

Traversé par le Tigre et l’Euphrate, l’Irak subit des pénuries d’eau chroniques et de plus en plus aiguës. Le pays, parmi les plus vulnérables à la crise climatique, a envoyé une importante délégation à Charm el-Cheikh pour la COP27. Mais l’incurie gouvernementale demeure.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

À Charm el-Cheikh, où se déroule la 27e Conférence internationale sur le climat (COP27), la délégation irakienne compte plus de 200 personnes. Bagdad entend ainsi montrer son sérieux. Les autorités irakiennes ont en effet de quoi s’inquiéter : l’Irak est le 5e pays le plus vulnérable aux impacts du bouleversement climatique, en termes de pénurie d’eau, de pauvreté alimentaire et de températures élevées, selon le classement du PNUE, l’agence des Nations unies pour l’environnement.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal