Juncker veut faire de la Banque européenne d'investissement l'un des piliers de la relance. Cette institution va prendre en charge le plan d'investissement de 315 milliards d'euros. Pour Xavier Sol, expert indépendant qui surveille la BEI, l'institution n'est pas taillée pour le rôle.
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LeLe grand public va devoir s'habituer au sigle d'une autre institution européenne, après celui de la BCE : la BEI, pour Banque européenne d'investissement. Avec le plan dévoilé fin novembre par le patron de la commission, Jean-Claude Juncker, chiffré à 315 milliards d'euros sur trois ans, la BEI, sorte de « Banque mondiale européenne », se trouve désormais en première ligne pour relancer l'économie atone de l'UE. Elle va développer tout un éventail d'instruments financiers inédits, alliant garanties publiques et fonds privés, pour financer des centaines de projets.
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