Séoul (Corée du Sud).– « Je suis tellement épuisé. » Début octobre, il est 4 h 28 lorsque M. Kim envoie ce message à son collègue. Après plus de 20 heures de service, il lui reste un quart de son camion à livrer dans la nuit de Séoul.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous