Afrin n’aura pas été le nouveau Kobané des Kurdes. La ville que les milices YPG (Unités de protection du peuple) avaient juré de défendre rue par rue, maison par maison, pierre par pierre, est tombée ce dimanche matin aux mains de l’armée turque et de ses alliés, des unités de l’Armée syrienne libre (ASL). C’est le président turc Recep Tayyip Erdogan en personne qui l’a annoncé, en se glorifiant comme un paon de sa victoire et en insultant les combattants kurdes, qui, selon lui, ont fui « la queue entre les jambes ».
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