Proche et Moyen-Orient

À peine commencée et déjà écourtée, la visite de Joe Biden en Israël s’annonce délicate

Alors que le président états-unien s’envolait mardi soir pour Israël, une attaque sanglante contre un hôpital, dont le Hamas et l’État hébreu se rejettent la responsabilité, a suscité la colère des pays arabes. La Jordanie a annulé le sommet qu’elle prévoyait d’organiser mercredi avec les États-Unis, l’Égypte et l’Autorité palestinienne.      

François Bougon

En février dernier, le président états-unien effectuait une visite surprise à Kyiv pour y rencontrer son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky. Près de huit mois plus tard, mercredi, Joe Biden se retrouve de nouveau dans un pays en guerre : en Israël, où un autre front s’est ouvert il y a onze jours avec les attaques terroristes menées par le Hamas qui ont fait 1 300 morts, suivies des représailles menées par l’armée israélienne et l’annonce d’une invasion terrestre pour éradiquer le mouvement islamiste. 

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