#FrenchArms, les armes du crime Enquête

Au Cameroun, les basses œuvres d’une unité spéciale équipée par la France

Au Cameroun, le « Bataillon d’intervention rapide », une unité d’élite de 5 000 soldats, est soupçonné des pires exactions dans des « chambres de torture secrètes ». Ces forces spéciales sont équipées et formées par la France.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Au Cameroun aussi, du matériel militaire français est utilisé contre des populations civiles. Dans le nord du pays, l’armée nationale de l’inamovible président Paul Biya, vieil ami de Paris depuis des décennies, mène depuis 2009 une lutte sans merci contre le groupe djihadiste Boko Haram.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal