Dakar (Sénégal), de notre correspondant.- C’est une petite bombe lancée chaque année au Mali, dont l’explosion fait généralement peu de dégâts. Créé en 2003 à partir de l’institution canadienne du même nom, le Bureau du vérificateur général (BVG) tend à Bamako le miroir de la frange la plus corrompue de ses élites et de son administration, dans un rapport ciblant un certain nombre d’institutions, de services et d’opérations de l’État.
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