On prend les mêmes et on recommence. À presque tous les égards, les élections législatives israéliennes du 17 septembre 2019 sont le remake quasi identique de celles d’avril dernier. Ce nouveau scrutin, provoqué par l’incapacité de Benjamin Netanyahou à former un gouvernement, alors qu’il en est à dix années consécutives au poste de premier ministre, promet un résultat identique au précédent. Si la définition communément admise de la folie est la répétition des mêmes actions dans l’espoir de provoquer une conséquence différente, alors les politiciens israéliens sont devenus fous.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous