Amira Bouraoui : l’Algérie « ne veut plus d’opposants, de médias indépendants »
Son départ clandestin pour rejoindre la France, via la Tunisie, a déclenché une crise diplomatique. Dans un entretien pour Mediapart et « L’Humanité », l’opposante algérienne Amira Bouraoui revient sur les raisons et les conditions de sa fuite, pour échapper à la répression qui s’abat, impitoyablement, sur les voix discordantes.
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QuatreQuatre ans après le début du Hirak, le soulèvement populaire pacifique qui avait poussé des millions de personnes dans la rue et chassé du pouvoir le fantomatique Abdelaziz Bouteflika après vingt ans de règne, la dérive autoritaire et répressive du pouvoir algérien étrangle les aspirations démocratiques du peuple et d’une jeunesse qui ne rêve plus que d’ailleurs.