Joe Biden face à une guerre dont les États-Unis ne voulaient pas

Le bilan du plus vieux président des États-Unis sera défini par la guerre, véritable test pour sa politique étrangère, test aussi pour un leadership américain en crise. Alors que l’opinion outre-atlantique se montre hostile aux engagements militaires extérieurs, c’était aussi le signal envoyé lundi par Biden avec sa visite surprise à Kyiv.

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Depuis le début de l’invasion russe de février 2022, la position des États-Unis n’a pas varié des lignes directrices définies très tôt par Joe Biden : pas d’implication directe de soldats américains, respect des engagements vis-à-vis des alliés de l’Otan et réponse transatlantique, notamment par des sanctions sans précédent ; soutien à l’Ukraine, pour l’aider à se défendre contre l’invasion et la menace d’annihilation.

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