Après deux journées d’interrogatoires intenses, la garde à vue de Nicolas Sarkozy dans l’affaire libyenne a pris fin, mercredi 21 mars, aux alentours de 17 h 30. Les juges d’instruction chargés du dossier se sont rendus eux-mêmes dans les locaux de l’Office anticorruption de la police judiciaire, situés à Nanterre (Hauts-de-Seine), afin de signifier à l’ancien chef de l’État français sa mise en examen pour corruption passive, financement illicite de campagne électorale et recel de détournements de fonds publics libyens.
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