Lors de sa visite sur l’île grecque de Lesbos, le 16 avril, le pape François, qui est revenu au Vatican accompagné de douze réfugiés syriens, avait évoqué un « voyage marqué par la tristesse, à la rencontre de la plus grande catastrophe humanitaire depuis la Seconde Guerre mondiale ». « Nous allons voir tant de gens qui souffrent, avait-il ajouté, qui fuient et qui ne savent pas où aller. Et nous allons aussi à un cimetière, la mer. Tant de gens ne sont jamais arrivés. »
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