International

Le pape François est mort, ses contradictions demeurent au sein de l’Église

Le premier pape sud-américain de l’histoire laisse un bilan mitigé aux yeux des progressistes, défenseur des migrants mais pourfendeur de l’IVG, écologiste revendiqué mais homophobe affirmé. La bataille, éminemment politique, pour sa succession est ouverte.

Lénaïg Bredoux

Son élection, en 2013, fut unanimement saluée par les progressistes. Sa disparition, lundi 21 avril, est l’occasion d’un bilan bien plus mitigé. Et sa succession à venir fait craindre une nouvelle offensive des plus réactionnaires. Jorge Mario Bergoglio, devenu pape François, est mort à l’âge de 88 ans, un lundi de Pâques, un jour très symbolique pour le 1,4 milliard de catholiques.

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