Moines de Tibéhirine: les services secrets algériens dans le viseur du juge

L’implication des services secrets algériens dans l’enlèvement des moines de Tibéhirine fait désormais figure de piste privilégiée par le juge anti-terroriste Marc Trévidic, selon plusieurs témoignages concordants versés au dossier d’instruction.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Le plan avait été préparé depuis plusieurs semaines. Ils étaient six responsables du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) autour de la table. La décision « finale » aurait été prise ce jour-là, le 24 mars 1996 : les moines français allaient être kidnappés. L’implication des services secrets algériens dans l’enlèvement des moines de Tibéhirine fait désormais figure de piste privilégiée par le juge anti-terroriste Marc Trévidic, selon plusieurs témoignages concordants versés au dossier d’instruction, dont Mediapart a pu prendre connaissance.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal