Europe Note de veille

En Italie, les incertitudes de l’après-Mario Draghi

Le premier ministre italien a remis sa démission jeudi 21 juillet, après avoir été désavoué par sa majorité. Il reste chargé des affaires courantes en attendant des élections anticipées, en septembre, pour lesquelles un parti post-fasciste est favori.

Justine Brabant et Fabien Escalona

Qui a eu la peau de Mario Draghi ? Depuis l’annonce de la démission de son premier ministre, jeudi 21 juillet au matin, l’Italie cherche des coupables. L’ancien gouverneur de la Banque centrale européenne (BCE), nommé président du conseil italien en février 2021 afin de sortir le pays d’une impasse politique et de gérer les fonds de relance accordés à son pays suite à la pandémie de Covid-19, n'est resté qu’un peu plus d’un an en poste.

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