Depuis leur retour au pouvoir, après la chute du régime soutenu par les Américains, les talibans se sont engagés dans une opération de communication, affirmant vouloir accorder une amnistie totale et respecter les droits des femmes et des minorités. Mais les témoignages recueillis au fil des jours montrent une tout autre réalité.
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Cela fait près d’une semaine que la situation a basculé en Afghanistan. Mais qui croire parmi les talibans ? se demandent les Afghans. En effet, lorsque certains, parmi les nouveaux maîtres du pays, prétendent que les femmes peuvent travailler et aller à l’école, d’autres cherchent maison par maison les militants et les journalistes. Leila*, 56 ans, se trouvait chez elle avec ses trois petits-fils et sa fille dans un village du nord du pays lorsque des combattants talibans ont frappé à sa porte il y a une semaine. Sima, sa fille de 23 ans, savait que c’étaient les combattants insurgés. Trois jours auparavant, ils étaient venus voir sa mère pour lui ordonner de préparer de la nourriture pour quinze combattants.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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