CPI : une justice internationale bancale Analyse

Les Etats africains ne veulent plus de la CPI, sauf quand elle les arrange

Au moment où le Burundi souhaite quitter la Cour pénale internationale, le Gabon lui demande de venir enquêter chez lui. Ces deux démarches opposées illustrent la complexité des relations entre la CPI et les pays africains.

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Le Burundi est devenu, le 12 octobre 2016, le premier pays à entamer les formalités pour se retirer du statut de Rome, traité fondateur de la CPI. L’argument principal des autorités pour justifier cette décision est la « politisation de l’action de la CPI », devenue « un instrument de pression sur les gouvernements des pays pauvres ou un moyen de les déstabiliser sous l’impulsion des grandes puissances », comme l’a déclaré la ministre burundaise de la justice. Pour l’opposition, le gouvernement cherche plutôt à échapper à d’éventuelles poursuites de la justice internationale.

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