Buenos Aires (Argentine).– Les heures, les jours et les nuits se succèdent sans contours et Diana les observe, vidée d’énergie, vissée au lit. « Au bout du premier mois de quarantaine, une grosse déprime m’est tombée dessus et elle n’a fait qu’augmenter, au point que je n’ai plus envie de rien », confie cette quinquagénaire qui vit dans la banlieue de Buenos Aires.
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