Aux Etats-Unis, un vent de méfiance souffle sur le web
Microsoft, Facebook, Twitter… ont annoncé cette semaine plusieurs opérations de fermetures de comptes et sites accusés de désinformation ou de tentatives de piratages à visées électorales. Accusés de n'avoir rien vu en 2016, les géants de l’Internet tentent de se refaire une virginité.
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C’est déjà trop tard pour 2018, et « si les États-Unis continuent sur cette voie, ils risquent de laisser leurs élections devenir la Coupe du monde de la guerre de l'information, dans laquelle adversaires et alliés des États-Unis se battent pour imposer leurs divers intérêts à l'électorat américain ». L’alerte, signée d’un ancien responsable de la sécurité de Facebook, Alex Stamos, suggère aux autorités américaines de prendre la menace au sérieux – une menace qui combine propagande sur les réseaux sociaux et manipulations technologiques, deux risques contre lesquels l’administration américaine est selon lui pour l’instant mal outillée, voire impuissante.
De nombreux témoignages et des documents obtenus par Mediapart montrent ce qui est proposé par ce prestigieux établissement catholique. Une quinzaine d'anciens élèves racontent les « humiliations » et les « souffrances » vécues.
La mort d’un bébé survenue la semaine dernière à Lyon a provoqué la stupéfaction. Mais depuis de longs mois, les conditions d’accueil en crèche se dégradent. Et des professionnels, des experts ou représentants du secteur tirent la sonnette d’alarme. Témoignages.
L’ancien président de l’UEFA a reçu de luxueux cadeaux offerts par l’oligarque ukrainien Grigori Surkis, aujourd’hui mêlé à une affaire de « détournement de fonds » présumé en lien avec les fédérations ukrainienne et européenne de football.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
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