Proche et Moyen-Orient

Du kibboutz Bee’ri à Tel-Aviv, le calvaire de la famille Tamir

De passage à Paris, Yaël Adoni Tamir, 45 ans, a témoigné auprès de Mediapart de l’histoire de cette « oasis de paix » frappée de massacre le 7 octobre. Avec pour espoir la libération des sept membres de la famille pris en otage ce jour-là. Trois autres, victimes du « pogrom », ne reviendront plus.

Rachida El Azzouzi

Yaël Adoni Tamir cherche ses mots sans réussir à trouver celui qui contient sa douleur depuis le 7 octobre 2023 et « le choc » de ce qu’elle appelle « le pogrom du Hamas ». « Le travail me sauve. Sans ça, je m’écroulerais », dit-elle en luttant pour retenir ses larmes, lorsque nous la rencontrons la semaine dernière, à l'occasion d’un court séjour à Paris où vit sa mère. 

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