En Algérie, les détenus d’opinion sont toujours plus nombreux

A l'heure du troisième anniversaire du Hirak, le soulèvement populaire pacifique, la répression n’a jamais été aussi forte en Algérie. Près de 340 personnes détenues arbitrairement sont actuellement recensées et une quarantaine d’entre elles ont entamé une grève de la faim fin janvier.

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La Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) dénonce une « escalade de la répression » qui menace « la survie de la société civile indépendante ». En Algérie, à l’heure du troisième anniversaire d’un mouvement de contestation sociale inédit, appelé « hirak », en arabe, ayant poussé des millions de personnes dans la rue pour revendiquer la fin de la corruption, le respect des droits humains, la justice sociale et la démocratie, la répression est à son plus haut niveau. Au 9 février 2022, près de 340 détenus d’opinion, dont sept femmes, étaient enfermés arbitrairement dans les prisons algériennes.

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