Genève, de notre correspondante.- Dans le jargon onusien, on l’appelle « l’accord des quatre villes ». Mais pour ceux qui ont accompagné les trois convois humanitaires onusiens entrés dans les villes syriennes assiégées de Madaya, Foua, Kefraya et Zabadani les 11, 14 et 18 janvier, c’est surtout la confirmation, de visu, qu’il se passe en Syrie des choses « simplement inimaginables », comme le dit Dominik Stillhart, le directeur des opérations du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), et qu'il faut agir de manière beaucoup plus large.
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