Tizi Ouzou (Algérie), de nos envoyés spéciaux.- Ils sont philosophes, sociologues, techniciens ou scientifiques et se réunissent dans une arrière-salle de l'université de Tizi Ouzou, à une centaine de kilomètres à l'est d'Alger, en Kabylie, haut lieu de la contestation dans le pays, là où la révolte du « printemps noir » de 2001, réprimée par le pouvoir, a laissé des traces durables. Ces intellectuels nés pour la majorité d'entre eux aux dernières heures de la guerre d'Algérie nous accueillent autour d'une vieille table en formica.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous