Moins de 24 heures après la fin du sommet de Biarritz, c’est le président iranien et non Donald Trump qui a dit ne pas vouloir de discussion entre Washington et Téhéran. Macron a voulu faire un coup d’éclat ; il a, au mieux, fait un pas de fourmi.
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LaLa visite impromptue du ministre iranien des affaires étrangères Djavad Zarif à Biarritz lors du G7 est apparue pendant deux jours comme l’unique résultat tangible d’un sommet dont le seul succès a consisté à éviter toute explosion de colère de Donald Trump, comme l’a cruellement noté la presse internationale. À l’issue de la rencontre, la diplomatie française s’est d’ailleurs félicitée d’avoir créé « les conditions d'une rencontre et donc d'un accord » entre le président des États-Unis et son homologue iranien Hassan Rohani.
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