Une archéologie «engagée» ressuscite les cités millénaires
À l’Institut du monde arabe, une déambulation émotionnelle, poétique et immersive, réalisée par la start-up Iconem, permet de traverser les sites anéantis de Palmyre, Alep et Mossoul, ainsi que celui, menacé, de Leptis Magna, tous reconstitués grâce à l’intelligence artificielle.
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L’archéologie en Afghanistan est un crève-cœur. Elle l’est aujourd’hui, à cause des talibans, des insurgés de tout poil, des seigneurs de guerre, des pillards et des trafiquants. Elle l’était déjà à ses débuts, en 1922, en raison de l’immensité de son patrimoine (achéménide, gréco-bouddhiste, kouchan, sassanide, moghol, pour ne citer que les principaux), lequel ne se concentre pas dans quelques districts mais maille l’ensemble du pays.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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