Au Sahel, l’échec de la France Enquête

Sahel : les frappes de l’armée française dans le collimateur

Depuis un an et demi, la force Barkhane est accusée dans au moins trois cas d’avoir bombardé des civils. Des chercheurs soupçonnent la France de mener, comme les États-Unis au Moyen-Orient, des « frappes signatures », fondées sur une interprétation très contestée du droit de la guerre.

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Il y a les annonces. Et puis il y a la réalité. Le 10 juin, Emmanuel Macron a décrété « la fin de l’opération Barkhane en tant qu’opération extérieure » et sa transformation en « opération d’appui, de soutien et de coopération aux armées des pays de la région ». Mais l’armée française n’a pas encore quitté la bande saharo-sahélienne. Loin de là.

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