Beyrouth (Liban). – Au centre médical privé Rizk Hospital, au cœur de la capitale libanaise, le personnel est à bout. « Les gens que nous accueillons arrivent à peine à respirer et nous devons parfois commencer les soins sur le parking faute de places », témoigne Christelle Azar, infirmière en chef des urgences, pointant du doigt une petite tente de fortune qui ce jour-là n'abrite pas de malades. Mais « l'hôpital est saturé » et elle craint « qu’on ne se dirige droit vers un scénario à l’italienne ».
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