Plusieurs manifestants qui voulaient barrer la route à un convoi de l’opération Barkhane ont été tués, et d’autres blessés, au Burkina Faso et au Niger. L’armée française reconnaît avoir fait usage d’armes létales. Ces incidents interviennent dans un contexte tendu, alors que l’image de la force Barkhane est dégradée au Sahel, et que la politique de la France y est de plus en plus contestée.
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QuatreQuatre blessés, dont un gravement à Kaya, au Burkina Faso. Trois morts et dix-sept blessés, parmi lesquels des mineurs, à Téra, au Niger. Le passage du convoi militaire français qui, parti d’Abidjan, en Côte d’Ivoire mi-novembre, avait pour destination finale la ville de Gao, où se trouve la principale base de la force Barkhane, au nord-est du Mali, a été sanglant.
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