Comme prévu, une enveloppe de trois milliards d’euros sera versée pour qu’Ankara « améliore la situation socio-économique » des 2,2 millions de réfugiés syriens sur son sol. Les négociations pour l’adhésion de la Turquie à l’UE seront, elles, « redynamisées ».
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LaLa journée est « historique », et 2016 sera « une année charnière dans nos relations », s’est réjoui le premier ministre turc Ahmet Davutoglu, qui a fait le déplacement dimanche à Bruxelles pour un sommet UE-Turquie sous haute tension. Jusqu’au dernier moment, les diplomates bruxellois redoutaient que les Turcs, en position de force pour plusieurs raisons (lire notre article sur le contexte de cette réunion), ne fassent encore monter les enchères. Finalement, l’accord conclu dimanche en fin de journée, en 11 points (à lire ici – en français), reprend nombre des promesses déjà formulées ces derniers jours à Bruxelles comme à Ankara.