Gauche(s)

Avec la dissolution de la Jeune Garde, l’antifascisme lyonnais perd un autre de ses piliers

Le gouvernement a officialisé la dissolution de la Jeune Garde, jeudi 12 juin. En deux ans, c’est le second groupe antifasciste dissous à Lyon, après le Gale. Un tournant dans l’histoire de l’antifascisme à Lyon, où ces mouvements étaient nés en réponse à une extrême droite très implantée.

Pierre Lemerle (Rue89Lyon)

Lyon (Rhône).– « On est les premiers d’une longue série. » Ces mots auraient pu être ceux de la Jeune Garde, le groupe antifasciste lyonnais, dont la dissolution a été prononcée jeudi 12 juin. Mais ce sont celles d’un membre d’un autre groupe antifasciste lyonnais : le Gale (Groupement antifasciste Lyon et environs), définitivement dissous il y a deux ans.

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