Le premier secrétaire sortant a été réélu avec 50,9 % des suffrages exprimés, dans un congrès qui n’a bénéficié d’aucune réelle dynamique. Faible participation, effectifs en recul, clivages surjoués : le Parti socialiste n’est pas sorti de sa convalescence.
Après six mois de crise politique et économique déclenchée par la tentative de coup de force du président destitué, la quatrième économie d’Asie a élu à sa tête le démocrate de centre-gauche Lee Jae-myung, avec un fort taux de participation.
Dans une proposition de loi censée réguler les pratiques de la mode éphémère, le Sénat a préféré cibler les acteurs les plus sulfureux du secteur : les géants chinois du e-commerce Shein et Temu. Intense, leur lobbying n’a, pour l’instant, pas porté ses fruits.
Six mois après la chute du régime, l’ONG Caesar Files for Justice, réunie autour de Farid al-Mazhan, l’homme qui a documenté les exactions du régime Assad, a choisi Paris pour sortir de l’ombre. Son objectif : faire avancer la justice, l’un des plus grands défis de la Syrie post-Assad.
Le nouveau système de distribution voulu par Israël et les États-Unis tue ceux qu’il est censé sauver. Plus de 72 personnes ont été tuées et des centaines blessées depuis une semaine par des tirs de l’armée israélienne alors qu’elles attendaient les colis alimentaires.
Son PIB par habitant pourrait rejoindre celui de la France cette année. Pourtant, la situation structurelle de l’économie italienne reste préoccupante, alors que la croissance ralentit. L’industrie est en déclin, les gains de productivité sont à l’arrêt, et les revenus des ménages en berne.
Si le carcan austéritaire des années 2010 a incité la « gauche du “non” » à durcir sa critique de l’intégration européenne, la décennie en cours a changé la donne. Les largesses de la pandémie et la pression des États néo-impériaux ont tempéré les velléités de rupture radicale.
Des convergences de vues entre Paris et Varsovie ont abouti à un traité de coopération inédit, signé le 9 mai. Le réchauffement des relations, qui reste encore à concrétiser, pourrait être atténué par la victoire du candidat conservateur à l’élection présidentielle polonaise de dimanche.
Le premier secrétaire sortant arrive au coude à coude avec ses opposants coalisés derrière Nicolas Mayer-Rossignol. Le sort d’Olivier Faure – et du rassemblement de la gauche et des écologistes – dépend désormais de Boris Vallaud et ses soutiens, qui en décideront le 5 juin.
Le ministre Philippe Baptiste veut contrôler davantage l’enseignement supérieur privé, mais reste flou sur la méthode envisagée. Dans le même temps, il assume de soutenir une saine concurrence avec le secteur public, pourtant notoirement exsangue.