L’inscription du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution a été largement adoptée jeudi à l’Assemblée. Rattrapé par ses vieux démons, le parti d’extrême droite s’est fracturé sur le texte.
L’ancien chef du service de gynécologie-obstétrique de l’hôpital parisien Tenon, spécialiste de l’endométriose, a été mis en examen mercredi pour « violences volontaires par personne chargée d’une mission de service public » à l’égard de trente-deux plaignantes.
Agent de sécurité, Hassan A. avait perdu son autorisation de port d’arme, puis avait été licencié début 2019 après un avis d’incompatibilité du ministère de l’intérieur. Le dossier était vide et la RATP a violé la loi en le licenciant, a tranché la Cour de cassation.
Après le communiqué de Céline Quatennens dénonçant des « violences physiques et morales » depuis « plusieurs années », des personnalités de gauche se sont élevées contre le possible retour du député de La France insoumise. LFI a décidé qu’il « ne participera pas à l’activité » du groupe jusqu’à ce qu’une décision de justice soit rendue.
La « Lopmi », la loi de programmation et d’orientation du ministère de l’intérieur, prévoit 15 milliards d’euros de budget supplémentaire pour les forces de l’ordre d’ici à 2027. Elle a été adoptée mardi avec les voix de la majorité, de LR et du RN.
L’ancien bras droit de Nicolas Sarkozy a écopé de six mois de prison ferme pour des infractions au financement de sa campagne dans les Hauts-de-Seine, lors des législatives de 2012.
Après la libération de Kherson par l’armée ukrainienne, la Crimée n’est plus qu’à 100 kilomètres du front. Annexée par Moscou en 2014, la péninsule est au cœur de complexes enjeux mémoriels et militaires.
L’exploitation des réserves pétrolières offshore par des multinationales participe au réchauffement climatique en émettant des gaz à effet de serre, alors même que les deux pays sont particulièrement exposés à la montée des eaux.
Les « happening » des activistes écologistes qui aspergent de liquide des œuvres d’art provoquent des vagues d’indignation. Mais ces actions viennent nous rappeler que l’art est devenu un marché spéculatif déconnecté des réalités sociales et écologiques.
Après la décision de censure préalable contre nos informations sur les pratiques du maire de Saint-Étienne Gaël Perdriau, des élus, notamment de la Nupes, plus d’une trentaine de sociétés de journalistes, des avocats et des ONG dénoncent une mesure liberticide incompréhensible.