Le patron de l’agence de communication e-Politic, Paul-Alexandre Martin, s’est lié d’amitié avec des militants néofascistes souvent multicondamnés. Le trentenaire était pourtant censé incarner un visage plus respectable que ses mentors, Axel Loustau et Frédéric Chatillon, tenus à distance par le RN.
Le maire de Fréjus et vice-président du RN s’est affiché au restaurant aux côtés de deux anciens patrons du GUD. Le premier est une figure historique de l’extrême droite radicale avec laquelle Marine Le Pen tente de prendre ses distances, le second ne cache pas ses sympathies pour le IIIe Reich.
Des salariés de cliniques psychiatriques tentent de résister au géant de la santé, qui a racheté une bonne part des établissements privés en France et imposé ses méthodes de management. Le groupe, rebaptisé Clariane, vise désormais le marché des soins ambulatoires.
Alors que Musk et Bannon répètent les saluts nazis, euphémisés par certains médias, « Extrêmorama » revient sur la façon dont la haine de l’autre pave la voie à la guerre de tous contre tous et à la montée en puissance de l’extrême droite radicale qui fascine une partie de la jeunesse.
Jordan Bardella a confirmé qu’en cas d’arrivée à Matignon, il validerait la dissolution du Groupe union défense annoncée par Gérald Darmanin. Il y a quelques années à peine, les militants du GUD et ceux d’autres groupuscules étaient pourtant les bienvenus au parti frontiste.
Plusieurs pays occidentaux forment des militaires ukrainiens au maniement des armes. Un groupe venu en France à la fin de l’année 2023 comptait dans ses rangs d’authentiques néonazis. Une donnée que l’armée française ne pouvait ignorer : l’un portait le symbole de la SS tatoué sur le visage.
Une dizaine d’ONG saisissent la justice française afin de suspendre les livraisons d’armes à Israël. Elles dénoncent un manque de transparence du gouvernement, dans un contexte où « personne ne peut ignorer tous les indices de commission de génocide » à Gaza.
Lundi 27 novembre, Sébastien Bourdon était l’invité de « Abonnez-vous ». Journaliste indépendant et collaborateur régulier de Mediapart, il travaille notamment avec le pôle Enquête sur l’extrême droite et les violences policières.
La section rennaise de l’Action française s’est émancipée du mouvement royaliste pour se rapprocher de l’ultradroite néonazie et participer aux récentes exactions commises en Bretagne. Les services de renseignement étaient aux premières loges.