Extrême droite

Il y a peu, la jeune génération du GUD était encore la bienvenue au RN

Jordan Bardella a confirmé qu’en cas d’arrivée à Matignon, il validerait la dissolution du Groupe union défense annoncée par Gérald Darmanin. Il y a quelques années à peine, les militants du GUD et ceux d’autres groupuscules étaient pourtant les bienvenus au parti frontiste.

Sébastien Bourdon

« Si demain je suis à la tête du pays, je n’aurai aucune forme de tolérance à l’égard de ceux qui se livrent à de la violence », a assuré Jordan Bardella, mercredi 19 juin, lors de sa visite du salon de défense Eurosatory près de Paris. Interrogé sur la dissolution du Groupe union défense (GUD), annoncée un peu plus tôt par le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, le président du Rassemblement national (RN) a confirmé qu’il irait au bout de la procédure en cas d’arrivée à Matignon. Et réserverait le même sort à « toutes les organisations d’ultradroite, toutes les organisations d’ultragauche »

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