L'académicien Alain Finkielkraut a été chahuté lors de son passage place de la République, samedi soir. Le service d'ordre de « Nuit Debout » affirme qu'il n'a pas été expulsé. Explications.
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Rendre compte de ce qu'il se passe chaque nuit (debout) place de la République : c'est la mission de TV Debout, une web-émission diffusée tous les jours en direct sur Youtube.
Stéphane Lardy, l’homme de FO sur les questions d’emploi, doit rejoindre l’Inspection générale des affaires sociales et Thierry Lepaon, l'ex-secrétaire général de la CGT, la lutte contre l’illettrisme.
La CGT tient son 51e congrès à partir de ce lundi. Philippe Martinez, son secrétaire général, répond aux questions de Mediapart. Porté par le contexte social, le syndicat reste fragile, tant dans son rapport à un monde du travail de plus en plus éclaté que sur sa position de leader, disputée par la CFDT.
L’académicien Alain Finkielkraut a été pris à partie, samedi 16 avril au soir, alors qu’il se trouvait place de la République, où se tient le mouvement « Nuit Debout ».
Vendredi 15 avril au soir, à Nice (Alpes-Maritimes), environ 400 personnes ont convergé vers la place Garibaldi pour la « grande Nuit debout » promise par les organisateurs, avec la diffusion du film Merci Patron ! de François Ruffin.
Non loin de « Nuit Debout », les réfugiés sont à bout. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des heurts ont éclaté entre Soudanais, Érythréens et Afghans dans le campement réinstallé sous la ligne de métro aérien près de la place Stalingrad. Les pouvoirs publics n’ont que trop laissé la situation s’envenimer.
Au cœur du mouvement, assemblées générales et commissions variées donnent la pulsation. Entre débats nocturnes et actions collatérales, l'horizontalité – de l'organisation, de la prise de décision – voit peu à peu s'élever face à elle la verticalité – indispensable à l'efficacité selon certains.
Le président et le premier ministre, en pliant face aux marchés, ont fait de la France un pays sans importance et sans idée, estime l'écrivain et journaliste espagnol Javier Valenzuela. L'exemple français illustre jusqu'à l'extrême la crise de la social-démocratie européenne.